Redfin et les autres ont profité d'un contexte particulier : taux bas 📉, envie de campagne 🏡, et boulot à distance 💻. Forcément, ça a fait boum ! Après, est-ce que ça tient sur la durée ? C'est une autre paire de manches... Les taux remontent, le télétravail se tasse, donc faut voir comment ils gèrent ça. Perso, je pense qu'il y aura un réajustement, mais pas un effondrement. 😉
Un réajustement, c'est probable, mais je me demande si l'impact sera uniforme. Les grandes villes pourraient souffrir plus que les zones périurbaines, non ? Le télétravail a peut-être changé la donne plus durablement qu'on ne le pense.
C'est une excellente question. L'attrait pour les zones périurbaines est indéniable, mais il ne faut pas négliger le potentiel de revitalisation des centres-villes avec des projets de rénovation énergétique. Des initiatives axées sur des bâtiments plus durables et des espaces verts pourraient rendre les villes plus attrayantes, surtout pour une population soucieuse de l'environnement.
L'idée de revitalisation des centres-villes via la rénovation énergétique, c'est un point super pertinent. Ça me fait penser à ce que j'ai observé dans mon secteur, le traiteur événementiel. Pendant le Covid, tout s'est effondré, évidemment. Mais j'ai vu une vraie reprise avec une demande axée sur des événements plus petits, plus locaux, avec une forte sensibilité environnementale. Les gens veulent du sens, de l'authentique. Et ça, ça peut se traduire dans l'immobilier par un intérêt pour des logements bien isolés, basse consommation, situés dans des quartiers qui favorisent la proximité et le lien social.
L'audit énergétique obligatoire, ça va clairement changer la donne, surtout avec les mesures DPE F et G. Ça va forcer les propriétaires à investir, et ça peut créer un appel d'air pour les entreprises spécialisées dans la rénovation. Mais ça risque aussi de peser sur les prix, car forcément, les biens énergivores vont perdre de la valeur.
Et puis, faut pas oublier l'essor du télétravail. Ça a redistribué les cartes, c'est sûr. Les gens veulent plus grand, plus de verdure, quitte à s'éloigner des centres-villes. La superficie recherchée a augmenté, c'est un fait. Mais est-ce que cette tendance va se maintenir avec le retour progressif au bureau ? C'est la grande question. Les perspectives 2022, comme vous dites, sont complexes. Y'a tellement de facteurs qui entrent en jeu... Faut voir comment tout ça va s'articuler. Mais l'idée de miser sur la qualité énergétique et la revitalisation des centres-villes, ça me semble être une piste solide pour l'avenir. Les nouveaux concepts immobiliers devront tenir compte de ça, à mon avis.
Excellente analyse ! L'impact de l'audit énergétique, c'est le game changer dont on parle pas assez. On verra un vrai tri entre les passoires et les logements optimisés, et ça, c'est une opportunité marketing de dingue pour ceux qui savent la saisir !
Oui, c'est clair, l'audit va tout changer. Pour ceux que ça intéresse, j'ai trouvé cette vidéo
https://www.youtube.com/watch?v=52j0jHUiVqI[/video] (How Will Coronavirus Affect The Housing Market?) qui explique bien comment le coronavirus a impacté le marché et pourquoi cette période est sans précédent. C'est en anglais, mais ça donne des bonnes bases pour comprendre les enjeux.
Tiens, en parlant de vidéos, vous avez vu ce deep fake de Macron qui fait du rap ? C'est hallucinant comment ils font ça maintenant... Bref.
Plus sérieusement, c'est vrai que l'audit énergétique, ça va créer un vrai deux vitesses dans le marché. Faut voir comment les banques vont réagir aussi, si elles vont durcir les conditions pour les passoires.
Bon, après avoir regardé la vidéo de Fulgurance (merci pour le lien d'ailleurs !), et en recoupant avec les infos sur la rénovation énergétique, je commence à y voir plus clair.
Ce qui me frappe, c'est la convergence des facteurs : le télétravail qui persiste, l'importance accrue de la performance énergétique, et la revitalisation des centres-villes qui pourrait (conditionnel !) inverser la tendance.
Je me demande si on ne va pas vers un marché à plusieurs vitesses, avec des gagnants (les biens rénovés, bien placés) et des perdants (les passoires énergétiques mal situées). Affaire à suivre de très près, quoi.
Cette idée d'un marché à plusieurs vitesses me semble tout à fait pertinente. Il est probable que l'on assiste à une polarisation accrue, avec une forte demande pour les biens performants et bien situés, et une décote pour les autres. Les enjeux de la rénovation seront donc clés.
C'est clair que la réno va devenir un argument de vente massue. Faut voir aussi si les aides de l'Etat suivent, parce que si c'est la croix et la bannière pour avoir un crédit, même pour rénover, ça va freiner pas mal de monde.
Oui, Kadidia a raison, les aides de l'état, c'est le nerf de la guerre. Si les gens galèrent pour obtenir des financements, même pour des travaux de rénovation énergétique, ça va bloquer pas mal de projets. D'ailleurs, faudrait creuser la question de l'accompagnement des ménages modestes dans ces démarches. Parce que l'audit, c'est bien, mais si derrière, t'as pas les moyens de faire les travaux... 🤷♀️ C'est là que les politiques publiques doivent jouer leur rôle, pour éviter de creuser les inégalités. 🏘️💰
Carrément ! Et là, je me dis, si les passoires énergétiques deviennent invendables, est-ce que ça va pas créer un marché de la rénovation spéculatif ? Genre, des fonds qui rachètent en masse pour revendre une fois rénové... Bon, c'est peut-être un peu complotiste comme réflexion, mais on a vu des trucs plus fous ! 😅 Ceci dit, je suis d'accord, l'accessibilité aux aides est primordiale.
Ce serait pas impossible, en vrai, l'histoire des fonds qui rachètent en masse... Faut surveiller ça de près. Mais bon, si ça crée de l'emploi dans le bâtiment, pourquoi pas, tant que les prix restent corrects derrière !
Commentaires (18)
Redfin et les autres ont profité d'un contexte particulier : taux bas 📉, envie de campagne 🏡, et boulot à distance 💻. Forcément, ça a fait boum ! Après, est-ce que ça tient sur la durée ? C'est une autre paire de manches... Les taux remontent, le télétravail se tasse, donc faut voir comment ils gèrent ça. Perso, je pense qu'il y aura un réajustement, mais pas un effondrement. 😉
Un réajustement, c'est probable, mais je me demande si l'impact sera uniforme. Les grandes villes pourraient souffrir plus que les zones périurbaines, non ? Le télétravail a peut-être changé la donne plus durablement qu'on ne le pense.
C'est une excellente question. L'attrait pour les zones périurbaines est indéniable, mais il ne faut pas négliger le potentiel de revitalisation des centres-villes avec des projets de rénovation énergétique. Des initiatives axées sur des bâtiments plus durables et des espaces verts pourraient rendre les villes plus attrayantes, surtout pour une population soucieuse de l'environnement.
L'idée de revitalisation des centres-villes via la rénovation énergétique, c'est un point super pertinent. Ça me fait penser à ce que j'ai observé dans mon secteur, le traiteur événementiel. Pendant le Covid, tout s'est effondré, évidemment. Mais j'ai vu une vraie reprise avec une demande axée sur des événements plus petits, plus locaux, avec une forte sensibilité environnementale. Les gens veulent du sens, de l'authentique. Et ça, ça peut se traduire dans l'immobilier par un intérêt pour des logements bien isolés, basse consommation, situés dans des quartiers qui favorisent la proximité et le lien social. L'audit énergétique obligatoire, ça va clairement changer la donne, surtout avec les mesures DPE F et G. Ça va forcer les propriétaires à investir, et ça peut créer un appel d'air pour les entreprises spécialisées dans la rénovation. Mais ça risque aussi de peser sur les prix, car forcément, les biens énergivores vont perdre de la valeur. Et puis, faut pas oublier l'essor du télétravail. Ça a redistribué les cartes, c'est sûr. Les gens veulent plus grand, plus de verdure, quitte à s'éloigner des centres-villes. La superficie recherchée a augmenté, c'est un fait. Mais est-ce que cette tendance va se maintenir avec le retour progressif au bureau ? C'est la grande question. Les perspectives 2022, comme vous dites, sont complexes. Y'a tellement de facteurs qui entrent en jeu... Faut voir comment tout ça va s'articuler. Mais l'idée de miser sur la qualité énergétique et la revitalisation des centres-villes, ça me semble être une piste solide pour l'avenir. Les nouveaux concepts immobiliers devront tenir compte de ça, à mon avis.
Excellente analyse ! L'impact de l'audit énergétique, c'est le game changer dont on parle pas assez. On verra un vrai tri entre les passoires et les logements optimisés, et ça, c'est une opportunité marketing de dingue pour ceux qui savent la saisir !
Carrément !
Oui, c'est clair, l'audit va tout changer. Pour ceux que ça intéresse, j'ai trouvé cette vidéo
https://www.youtube.com/watch?v=52j0jHUiVqI[/video] (How Will Coronavirus Affect The Housing Market?) qui explique bien comment le coronavirus a impacté le marché et pourquoi cette période est sans précédent. C'est en anglais, mais ça donne des bonnes bases pour comprendre les enjeux.
Tiens, en parlant de vidéos, vous avez vu ce deep fake de Macron qui fait du rap ? C'est hallucinant comment ils font ça maintenant... Bref. Plus sérieusement, c'est vrai que l'audit énergétique, ça va créer un vrai deux vitesses dans le marché. Faut voir comment les banques vont réagir aussi, si elles vont durcir les conditions pour les passoires.
Exactement ce que je pense.
Bon, après avoir regardé la vidéo de Fulgurance (merci pour le lien d'ailleurs !), et en recoupant avec les infos sur la rénovation énergétique, je commence à y voir plus clair. Ce qui me frappe, c'est la convergence des facteurs : le télétravail qui persiste, l'importance accrue de la performance énergétique, et la revitalisation des centres-villes qui pourrait (conditionnel !) inverser la tendance. Je me demande si on ne va pas vers un marché à plusieurs vitesses, avec des gagnants (les biens rénovés, bien placés) et des perdants (les passoires énergétiques mal situées). Affaire à suivre de très près, quoi.
Cette idée d'un marché à plusieurs vitesses me semble tout à fait pertinente. Il est probable que l'on assiste à une polarisation accrue, avec une forte demande pour les biens performants et bien situés, et une décote pour les autres. Les enjeux de la rénovation seront donc clés.
C'est clair que la réno va devenir un argument de vente massue. Faut voir aussi si les aides de l'Etat suivent, parce que si c'est la croix et la bannière pour avoir un crédit, même pour rénover, ça va freiner pas mal de monde.
Oui, Kadidia a raison, les aides de l'état, c'est le nerf de la guerre. Si les gens galèrent pour obtenir des financements, même pour des travaux de rénovation énergétique, ça va bloquer pas mal de projets. D'ailleurs, faudrait creuser la question de l'accompagnement des ménages modestes dans ces démarches. Parce que l'audit, c'est bien, mais si derrière, t'as pas les moyens de faire les travaux... 🤷♀️ C'est là que les politiques publiques doivent jouer leur rôle, pour éviter de creuser les inégalités. 🏘️💰
Yep, plein de points hyper pertinents soulevés ici. Merci pour vos éclairages, ça aide à y voir plus clair dans ce bazar !
Tout à fait d'accord avec Camille. L'accessibilité aux aides est primordiale pour que la transition énergétique ne laisse personne sur le carreau.
Carrément ! Et là, je me dis, si les passoires énergétiques deviennent invendables, est-ce que ça va pas créer un marché de la rénovation spéculatif ? Genre, des fonds qui rachètent en masse pour revendre une fois rénové... Bon, c'est peut-être un peu complotiste comme réflexion, mais on a vu des trucs plus fous ! 😅 Ceci dit, je suis d'accord, l'accessibilité aux aides est primordiale.
C'est une excellente question ! Si c'est le cas, espérons que ça profitera à tout le monde et pas juste à certains.
Ce serait pas impossible, en vrai, l'histoire des fonds qui rachètent en masse... Faut surveiller ça de près. Mais bon, si ça crée de l'emploi dans le bâtiment, pourquoi pas, tant que les prix restent corrects derrière !